mardi 13 octobre 2015

Nouvel espace artistique et culturel à Abomey-Calavi: "Le Patriarche" prêt pour divertir et restaurer



Le podium de "Le Patriarche"

En venant de Cotonou tout comme d’Abomey-Calavi, il faut désormais marquer un arrêt au carrefour Bidossessi, juste à la mini-station  "ORIX". L’art vous accueille à l’espace "Le Patriarche" avec ses commodités.




Paré de ses couleurs rouges, déjà de l’extérieur, l’espace capte l’attention. Il suscite la curiosité surtout à cause de l’imposante posture qu’il offre généreusement. Et quand on franchit le portail, on ne se doute point de l’empire artistique qui y est bâti. Vous êtes donc à l’espace de divertissement "Le Patriarche". Un mot inscrit en lettres d’or en haut juste à votre gauche, l’endroit réservé aux spectacles de tout genre, à savoir, du ballet, du théâtre, des concerts et consorts.Et ça, c’est une initiative  de Claude Kpènou, le  directeur général  de la société "Le Patriarche".En face de ce géant podium qui respire l’art, se trouvent des chaises qui dégagent aussi le confort. Ce sont les  places réservées aux spectateurs. Des spectateurs pour lesquels Claude Kpènou  rêve du meilleur. « Nous sommes en train de peaufiner une programmation qui sera bientôt diffusée pour non seulement le plaisir des populations de Calavi, mais également celles de Cotonou », a expliqué le promoteur de "Le Patriarche". Une détermination qui, aux dires du promoteur de ce nouvel espace artistique et culturel inauguré le samedi 10 octobre 2015  dans la soirée, ne vise pas en première loge, des fins lucratives. « J’insiste sur le fait que ce n’est pas l’aspect commercial qui nous préoccupe. Mais c’est plutôt  l’aspect développement de  notre culture et de sa valorisation à l’échelle internationale qui est notre priorité », s’est justifié Claude Kpènou avant d’inviter les populations à s’approprier l’espace "Le Patriarche" qui se mettra bientôt, selon ses explications, en partenariat avec des centres culturels déjà existants à l’instar de l’Institut français du Bénin et autres pour leur offrir des spectacles captivants. Des populations qui peuvent aussi, selon le promoteur de "Le Patriarche", se régaler en s’offrant de bons plats, de beaux tableaux d’art et  les produits de  la Sobebra à un prix forfaitaire. Car, selon Claude Kpènou,  l’art culinaire et l’art plastique   tiennent également une place de choix  à cet espace  culturel et artistique. 

 Donatien GBAGUIDI






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