La danse de feu. C’était
à cela que se résumait le festival "Yaoïtcha" Mais son promoteur,
Sakpata Zogbo a finalement changé d’option. Dans un entretien que nous avons eu
avec lui, il révèle les raisons qui justifient le nouveau nom de baptême " Festival des danses
endogènes", qu’il vient de donner à l’événement.

oine immatériel du Bénin, pour y détecter des danses endogènes les plus intéressantes, afin de les adapter à la scène, pour les proposer au public d’ici et d’ailleurs. Autrement dit, le festival "Yaoïtcha", devenu "le festival des danses endogènes", fera peau neuve, cette année, pour conquérir de nouveaux spectateurs, qui apprendront davantage, sur les richesses artistiques du Bénin, avec à la clé, une diversité de danses endogènes, « qui seront exécutées par des professionnels, en la matière », a précisé Sakpata. Lui qui ambitionne désormais, de faire de la culture, « ma raison de vivre et de me faire respecter de par mon travail ». Car, « le traitement infligé actuellement aux acteurs de la culture est bien pitoyable », s’est-il indigné, avant d’inviter tous ses partenaires traditionnels et toutes les bonnes volontés, à porter avec lui, ce projet repensé, afin qu’il réussisse, pour le bonheur du secteur des arts et de la culture.
Donatien GBAGUIDI
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