Une nuit artistiquement
torride. Et qui accouche d’un rêve légitime. Un rêve orienté vers les artistes,
rien que pour leur bonheur. Bienvenue dans l’univers de Jah Baba, le promoteur
du Centre culturel et artistique, "Africa
Sound City". Un centre qui a effectué, dans la nuit du jeudi 25 janvier
2018, sa rentrée artistique, avec de nouvelles ambitions.
La deuxième dimension du rêve de Jah Baba, pour cette année,
c’est l’aboutissement des « stratégies d’identification de jeunes groupes
d’artistes à former, afin qu’ils opèrent en vrais professionnels ». Des
jeunes groupes qui, une fois bien formés, recevront l’appui d’Africa Sound
City, pour « enregistrer un ou deux titres, voire, tout un album ». Des
titres où album qu’Africa Sound City se propose d’aider les artistes concernés
à diffuser aussi bien sur son espace, mais également avec ses partenaires nationaux
et étrangers. Le but étant, selon les propos de Jah Baba, de permettre à ces
jeunes artistes, de « créer leur
propre public et leurs fans ».
La troisième dimension du rêve de Jah Baba, c’est de
« créer de nouveaux concepts d’humour, pour permettre aux artistes
comédiens et humoristes, de saisir d’autres opportunités professionnelles pour
mieux vivre de leur art ».
La quatrième dimension du rêve de Jah Baba, c’est
« d’élargir le centre Africa Sound City, pour plus de mobilité et de
spectacles d’envergure ».
Et la dernière dimension du rêve de Jah Baba, c’est que
prospère pour cette année, son projet
d’insertion des valeurs culturelles et artistiques de chez nous, dans la musique, pour leur
valorisation au plan national et international.
Mais pour y arriver, Jah Baba veut compter sur toutes les
bonnes volontés, et espère l’accompagnement de l’Etat pour leur concrétisation.
Parviendra-t-il ? La fin de la saison artistique nous édifiera.
Donatien GBAGUIDI
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire