mercredi 31 août 2016

Bénin/Cinéma: APAC-Bénin aguerrit des producteurs de l’audiovisuel et du cinéma



Les participants face au formateur

Ils sont  environ une  vingtaine de participants à prendre part à la formation initiée par l’Association des producteurs de l’audiovisuel et du cinéma (APAC-Bénin). C’était du 26 au 27 août 2016 dernier à l’hôtel Bel Azur de Grand-Popo.




 « Les six déterminants d’une photo cinématographique : quelle utilisation pour un film excellent ». C’est le thème qui a mobilisé producteurs de films, réalisateurs, assistant réalisateurs, cadreurs, monteurs, maquilleurs et autres pendant ces deux jours de formation. La deuxième du genre initiée par l’Association des producteurs de l’audiovisuel et du cinéma (APAC-Bénin), qui vise, aux dires de Hubert Kiniffo, le président de l’association, à « mettre d’une part,  à jour nos connaissances  et d’autre part, à harmoniser et à réactualiser les acquis techniques qui sont les nôtres ». Un objectif qu’approuve la  représentante du directeur du Fonds des arts et de la culture (FAC).  Car, il s’inscrit selon ses explications, « dans la dynamique de la recherche permanente de la qualité et de la compétence  qui caractérise la gouvernance actuelle ». Et pour atteindre les objectifs de cette session de formation, l’APAC-Bénin a décroché pour les participants, un expert en la matière. Il s’agit de King Gnanho, technicien en service à l’Office de radiodiffusion et télévision du Bénin (Ortb). Après avoir défini aux participants à la formation, ce que c’est que la photo cinématographique, il leur a révélé les six déterminants de la photo cinématographique. On peut citer selon ses explications, le placement de la caméra,  le cadrage, les mouvements à faire avec la caméra,   le choix de l’objectif, la lumière, l’exposition  qui s’entend par la qualité de l’image que l’on a devant soi. Des déterminants qui permettent selon King Gnanho, d’apprécier convenablement la qualité d’un film. Après le point de ces six déterminants fait, le formateur est revenu sur le rôle que joue chacun d’eux, et ceci dans une démarche participative qui a permis aux participants de mieux cerner les contours de la photo cinématographique. « Ce Master class nous a permis   d’avoir une plus-value par rapport à ce que nous avons appris dans les écoles », a témoigné   Nicole Dadjo, maquilleuse de profession ayant pris part à cette session de formation. Une formation à l’issue de laquelle, les participants ont reçu leurs parchemins. Et le rendez-vous est pris pour la 3ème édition.

 Donatien GBAGUIDI


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