Les deux co-conférenciers |
Un événement majeur
fera, ce jeudi 7 juin 2018, au Centre culturel chinois, des heureux. En effet,
des candidats, la centaine environ, venus de 26 pays, ayant pris part au
concours international de photographie d’arts, seront fixés sur leur sort. Face
aux journalistes culturels, dans les locaux de l’Association nationale des
photographes d’arts du Bénin, sis à Abomey-Calavi, Yèkini Djouberou, l’organisateur
en chef de l’événement, assisté de Reha Bilir, membre du jury international
chargé d’apprécier les œuvres, ont co-animé une conférence de presse. A
l’occasion, ils ont expliqué les tenants et les aboutissants de ce concours, à
caractère publicitaire pour le Bénin.
Photo de famille avec la délégation turque |
Selon les explications de Yèkini Djouberou, cinq prix sont en
jeu pour les concurrents. Il s’agit des prix décernés dans cinq différentes
catégories. Il y a, en effet, le Prix de la meilleure photographie portrait, le
Prix de la meilleure photographie nature, le Prix de la meilleure photographie
enfance, le Prix de la meilleure photographie de mariage et le Prix de la
meilleure photographie option libre, dans laquelle tous les candidats peuvent
postuler. Ce concours, qui est une première organisée par le Bénin, constitue,
pour Reha Bilir, un véritable acte de publicité pour le Bénin. Et il
s’explique : « tous les candidats des 26 pays ne produiront des
images que sur le Bénin. Or, il n’y a pas une meilleure arme que les images
pour vendre les merveilles d’un pays. C’est en cela que ce concours est d’un
grand atout pour le Bénin », a laissé entendre Reha Bilir, le
président de l’association turque, Sille
Sanat Art Palace. Il faut dire, qu’outre la délibération de ce grand concours
international, plusieurs autres activités ont été organisées dans le cadre de
cet événement. Il s’agit, entre autres, comme l’a expliqué Yèkini Djouberou, de
la formation des enfants apprentis photographes, assurée par la turque, Derya Yazar.
Elle avoue en être émue, parce que, « se justifie-t-elle, apprendre la
photographie aux enfants a toujours été mon rêve et je viens de le réaliser.
J’en suis émue, c’est pourquoi je n’ai pas pu retenir mes larmes à l’issue de
la formation ».
Donatien GBAGUIDI
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